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Affichage des articles du mars, 2015

#126 : Un Mois en Moi! (me made month challenge)

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31 jours et 30 looks. (un loupé le premier dimanche de mars... j'y étais presque!^^) Un mois entier que je ne m'habille qu'avec du "moi". Ce fut bien plus facile que lors du dernier, puisque j'ai bien rempli mon placard de pièces homemade depuis (et pendant aussi: sitot cousu, sitot sur le c*l !) . Et finalement c'est passé assez vite! Et certaines piéces sortent du lot: Les grands vainqueurs de ma penderie sont: Mon short châtaigne noir à festons toujours au top avec 3 fois dans le mois. (pas une surprise, tellement porté l'an dernier et encore cette année qu'il est usé à l’extrême. Il va falloir lui coudre un jumeau de remplacement) ex-aequo avec ma Marthe blanche rayée argent qui fait ne entrée des plus remarquée dans ma garde robe. (j'en suis folle! je pourrait la mettre tous les jours!) Prix "du jury- hors catégorie" puisqu'il n'apparait que deux fois en photo mais que je le porte quasiment chaque jour:

#125: faux-cul! (Archer button up - Grainline Studio)

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  En ce moment, je suis obnubilée par les chemises. En 2014, c'était les blouses avec patte de boutonnages. Mais en 2015, j'ai franchit un cap, et c'est des chemises qu'il me faut. Des tas de chemises, de toutes les formes, cintrés ou larges, manches longues, courtes, sans manche, de toutes les couleurs ou à motif, avec des grands col, des petits col, des cols Mao, tout ça. Et j'ai envie de tester TOUS les patrons disponibles pour trouver MA chemise parfaite! et je m'y emploie avec ferveur!   Vous avez déjà vu Mythique, maintenant parlons d' Archer.    Quand je suis tombée sur ce patron, j'ai totalement flashée sur l'option " faux cul"! (Vivienne Westwood, sors de ce corps!)  Non, mais parce qu'il faut que je vous dise: en plus de mon obsession pour les chemises, je développe en ce moment une passion dévorante pour les arriéres trains "froncés"... (mais je vous en parlerais en vous présentant mes M

#124 : Everest. (Quart Coat / Pauline Alice)

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Parfois, j'aimerais ne coudre que des modèles simples et rapides jusqu'à la fin de mes jours. La vie dans l'atelier serait alors un long fleuve tranquille, coulant paisiblement d'une Marthe à l'autre. Ce serait comme une longue méditation, un mantra (Oooommmmmm Ooooommmmm Ooooommmmm Ooooommmmmaaaaarthe) ou les actions simples mèneraient sereinement   vers d'autres actions simples, se faisant sans heurt, avec aisance, sans que la pensée n'en soit alourdie. Aucune colère, aucune urgence. De la concentration certes mais comme un outil pour atteindre un état supérieur de conscience où plus rien ne viendrait perturber l'esprit. Béatitude! Parfois, je me dis que cette simplicité m'enlise et qu'il serait temps que je me colle un bon coup de pied au fondement pour m'attaquer à des projets plus stimulants. Secoues toi donc, ma fille! Tu ne va pas coudre encore une trouze-millième Marthe! Cherche donc un peu à te dépasser! N'es-