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Affichage des articles du août, 2014

(104) D(u)o Brasil

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  Et voilà que Septembre se profile à l'horizon, avec son cortège de cahiers neufs, de réveils matin et de métro-boulot-dodo. Alors qu'on n'a pas vu passé l'été. ( L'été? Quand ça? Où ça? Mais comment? J'ai rien vu! Aaaah les trois jours de soleil voilé d'il y a dix jour c'était ça. Ok, autant pour moi, je croyais que l'été c'était une saison en entier. Méprise!) Et toi, public aimé, ça te déprime. Je sais, moi aussi. Alors pour que tu puisses encore rêver un peu à la chaleur et au clapotis des vagues, je vais te faire un billet spécial "tropiques et samba!". Prends un café mojito, installe toi dans ton canapé transat et détends toi, je m'occupe de tout! Et comme je ne fais pas les choses à moitié quand il s'agit de te vendre du rêve, aujourd'hui, ce n'est pas uniquement "Do" Brasil dont on va parler, mais de "DUO" Brasil! Duo de bloggeuses, déjà: Puisque j'ai

(103) Motifs addictifs

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Comme je le disais précédemment , je m'auto-combats pour tailler dans le vif de mes tissus chéris. Et au mois d'aout, je crois que j'ai gagné une bataille importante:  J'ai taillé mes tissus made in "motif personnel" !!!! Je sais, c'est incroyable, j'ai enfin osé! diiiingue! Et c'était tellement bon, que j'ai pas pu m'arrêter! une véritable addiction à ces tissus parfaits en tous points! (non on ne m'a pas payer pour vous dire ça... Même si j'aurais pas dis non, soyons claires, je suis vénale a souhait!) :  faciles à coudre, hyper agréables à porter, et qui ne se froissent quasiment pas  ( pas de repassage, joie, bonheur!) . Que demander de plus? rien, si ce n'est d'autres coupons encore et encore!^^ Bref,  les projets se sont enchainés.     D'abord une Robe Sigma de Papercut , en tissu " léger comme une plume" bleu canard.  lors de mon premier test, j'avais trouvé le M

(102) Mais pourquoi je n'en ai pas pris 18 mètres????

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  Il y a des tissus comme ça, quand on les achète on ne réfléchi pas. On en prend 2 mètres. Et une fois a la maison, on les regarde à nouveau, on les caresse, on admire les motifs délicats, la fluidité, la douceur de l'étoffe. Et soudain, du tréfonds de notre être, monte un grondement sourd. Un hurlement de douleur:   "Mais pourquoi n'en ai-je pas pris 18mètres???? Pourquoi???? Ou avais-je donc l'esprit? Oh Toi, Dieu du fil et de la canette, pourquoi m'as tu laissé ainsi me fourvoyer???? Raaaaaaaah!!!!"  Mais point de réponse du dieu du fil et de la canette, ni même d'un autre dieu, pas même un petit lutin ou une goule pour donner un sens à cette infamie. Tu n'en as pris que 2 mètres, et bien, il va falloir vivre avec ça sur la conscience!  Rude est la vie, petit Padawan de la couture! Du coup, ce tissu fabuleux, on ne veut plus le sacrifier sur l'autel du Saint Patron. On le range bien au chaud, on attend po